Lentement en action avec casse-vitesse

Gepubliceerd op 8 december 2020 om 14:32

Dans le “Krantje “ d’octobre 2018 paraissait un article intitulé “Le syndic, un mal nécessaire ?” L’article se terminait par la conclusion suivante : “Les membres du conseil de gérance s’efforcent de s’acquitter au mieux de leur mission de conseil et de supervision du syndic. Une bonne et positive coopération entre les membres du conseil et Agem est dans l’intérêt de tous. Avec une bonne volonté des deux côtés, nous pouvons aller très loin.”

Un tout nouveau ralentisseur.

Ci-dessous, nous donnons un exemple type parmi tant d’autres, où, malgré les efforts des membres du conseil, un certain nombre de choses ne sont pas ou bien trop tard mises en ordre par le syndic. Certains propriétaires se demandent quel travail bénévole les membres du conseil font. Le journal de janvier 2019 contenait la réponse dans l’article “10 ans de volontariat dans le Parc”. Les membres les plus actifs du conseil d’administration en sont frustrés depuis un certain temps. Beaucoup de leurs efforts ne sont pas écho auprès du syndic, ou seulement après de nombreux rappels. Donnons un exemple qui illustre bien que le travail des membres du conseil nécessite beaucoup de persévérance pour parvenir à quelque chose de positif.

La sécurité routière n’aurait pas d’importance ?

Malgré une vitesse limitée à 20 km / h, il y a parfois encore des chauffards dans le parc, comme entre le portail et ALHO. Des casse-vitesses ont été installés à divers endroits, par exemple à proximité des terrains de jeux. Cela oblige l’automobiliste à ralentir, ce qui est nécessaire pour la sécurité de nos enfants qui jouent, par exemple. Ces dos d’ânes en caoutchouc ne coûtent pas cher mais sont efficaces. Dans la mesure où ils sont en bon état et ne peuvent être contournés, ils font leur travail.

Mi-2018, le casse-vitesse près de l’aire de jeu entre Parkpunt et Acacia avait fait son temps. Les extrémités avaient disparu et il pouvait dès lors être facilement franchi à une vitesse bien trop élevée. Le 30 juin 2018, un e-mail envoyé à Agem demandant le remplacement de ce ralentisseur. Quelques jours plus tard, ce remplacement était promis par le syndic. Rien ne s’est passé dans les premiers mois qui suivirent.

Le message est de persévérer

Le 10 janvier 2019, un rappel était envoyé avec une photo du casse-vitesse défectueux. Cette fois encore, rien ne s’est passé. Peu de temps après un nouveau rappel envoyé le 15 juin 2019, la promesse que l’installation aurait lieu après les travaux de la firme Maes nous était faite. Comme début 2020, rien n’avait été effectué, un nouveau courriel a été envoyé le 18 février. Quelques semaines plus tard, la réponse est venue avec des excuses. On y travaillerait. Mais en juin 2020, la situation était toujours la même, donc une nouvelle photo a été jointe à un nouveau courrier. Faute de réponse, le message a été répété en septembre 2020.

Début octobre, Agem confirme que l’ordre a été donné. En effet, miraculeusement, fin octobre 2020, le nouveau ralentisseur était enfin posé … plus de 2 ans après le premier courriel au syndic. Pendant tout ce temps, la sécurité de nos enfants était une priorité pour le conseil mais sans doute pas pour le syndic. De plus, cela avait représenté une perte de temps pour un membre du conseil prenant des photos et envoyant des courriels à plusieurs reprises mais aussi pour les employés d’Agem. Il aura fallu plus de 2 ans d’insistance afin que les réparations nécessaires pour un environnement de jeux sécure soient effectuées. La chose positive à retenir de cet exemple parmi tant d’autres est que parfois un résultat peut être atteint par un membre du conseil persévérant. Mais il est tout aussi incompréhensible et inacceptable que les choses soient si lamentablement lentes. Les propriétaires peuvent comprendre les frustrations des membres du conseil. Si seulement le syndic avait la même compréhension !

Robert Vermeersch

Reactie plaatsen

Reacties

Er zijn geen reacties geplaatst.